Oui !
J’accorde une grande importance à la durabilité et à la sobriété dans ma pratique.
J’utilise des matériaux durables — notamment des chutes de marbres, tessons donnés par des collègues céramistes, ou encore morceaux de verre provenant d’ateliers de vitraillistes. Ces collaborations locales permettent de donner une seconde vie à des matières destinées à être jetées. J’aime limiter le gaspillage au maximum.
Seuls mes smalts vénitiens proviennent de Venise : 1 200 km nous séparent,
ce n’est pas si loin. Je m’y rends une fois par an pour choisir des galettes de verre uniques et indispensable à la création de mes mosaïques.
Ma production génère très peu de déchets, et chaque pièce est pensée pour traverser le temps.
Au-delà du choix des matériaux, je privilégie une approche artisanale et locale : je travaille en circuit court autant que possible.
Et j’entretiens des partenariats avec des artisans et fournisseurs de proximité.
Mon travail repose sur une philosophie simple : créer moins, mais mieux.
La qualité et le respect de l’environnement guident chacune de mes réalisations.